Quelques estampes maritimes d’Hiroshige, un style qui lui réussit bien. Découvrez plus d’estampes de poissons sur le site de la collection d’estampes de l’Université de Connecticut.

Intéressant, cette page web présente une multitude de vues du Mt Fuji et de ses représentations sous forme d’estampe. Une bonne occasion de redécouvrir le fameux volcan au travers d’autres regards que ceux des séries d’Hokusai ou Hiroshige.

Eh oui, à Tokyo les estampes japonaises se nichent jusque dans les lampadaires ou les toilettes publiques. En même temps, rien d’étonnant à cela quand on sait que ces photos ont été prises sur la rue Hokusai.

Pour le plaisir, quelques illustrations sur les jouets japonais. Elles sont tirées de la collection de la Bibliothèque préfectoral d’Akita.

Note: ce billet fait partie d’une série sur les maîtres de l’estampe japonaise, retrouvez tous les portraits dans la liste ci-dessous
1. Kunisada: le travailleur acharné
2. Utamaro, passionné de beauté
3. Hiroshige: graveur en série
4. Yoshitoshi: le fou lumineux
5. Hokusai: le vieux fou de dessin
6. Sharaku: l’énigme
7. Harunobu: un pas vers la couleur
8. Moronobu: le précurseur
9. Eisen: l’éternel élève

Eisen (1790 – 1848)

Peintre et graveur d’ukiyo-e, Eisen fut l’élève d’Hakkeisai, puis d’Eizan. Au Japon, on le connait pour ses estampes érotiques et ses geishas. En occident ce sont ses paysages réalisés en collaboration avec Hiroshige qui le firent connaître.

Ses principales influences furent la peinture chinoise des périodes Ming et Sung, ainsi que les travaux d’Hokusai.