Morozumi Masakiyo se tue dans la bataille
Une estampe d’Utagawa Kuniyoshi, datée de 1848, qui dépeint Morozumi Masakiyo qui se tue dans la bataille.
Une estampe d’Utagawa Kuniyoshi, datée de 1848, qui dépeint Morozumi Masakiyo qui se tue dans la bataille.
Une idée amusante de la part de Steve Bialik, dessiner les personnages d’un film culte, Star Wars, dans le style des estampes japonaises. La réalisation des illustrations n’est pas extraordinaire, mais le résultat reste honorable.
Le site Fortunes de Mer a consacré un long article aux trésors artistiques qui se trouvaient dans le défunt Costa Concordia. Parmis les oeuvres, une série complète des 36 vues du Mont Fuji d’Hokusai, mais aussi bon nombre d’autres estampes japonaises.
Durant les événements d’occupation à travers les Etats-Unis, une image choc a provoqué l’émoi du public: un policier se promène nonchalamment devant des manifestants assis en tailleur et les asperge de gaz.
Des internautes facétieux ont repris cette image et l’ont photoshoppée sur de nombreuses oeuvres emblématiques de l’histoire de l’art. Parmi ces oeuvres, l’incontournable grande vague d’Hokusai est attaquée par le brave policier.
Des jeux de l’enfance au jeu de Go, les japonais ont toujours été très joueurs. Les estampes japonaises dépeignaient la vie de tous les jours des japonais, il allait donc de soi qu’elles reprennent les jeux de l’époque et les présentent en ukiyo-e.
Bien entendu, pas de machine à sous ou de casino en ligne à l’époque, mais des jeux traditionnels que vous retrouverez sous la forme d’estampes dans l’article ci-dessous.
Inspiré du mot portugais Carta, le Karuta est le frère de nos cartes à jouer. Ce n’était pas encore du black jack, mais ça avait l’air tout aussi addictif.
Des courtisanes jouant au Karuta.
Un jeu de Karuta du 18ème siècle, peint à la main.
Des cartes à jouer modernes illustrées avec des estampes japonaises.
Originaire de Chine, le jeu de gooppose deux adversaires qui placent à tour de rôle des pierres blanches et noires sur un plan appelé goban, tentant ainsi de contrôler le plan de jeu en y construisant des « territoires » qui se comptent en points (moku en japonais). Chaque pierre représente un soldat, les soldats encerclés deviennent des prisonniers.
Difficile de retrouver des informations complètes sur les jeux d’enfants à l’époque d’Edo, mais l’estampe ci-dessous donne une petite idée de certains jeux pratiqués par les enfants de l’époque.
Impossible de reconnaître tous les jeux présents sur cette estampe, mais on peut en deviner quelques-uns. Tout à droite de l’estampe, on peut apercevoir une sorte d’ancêtre du badminton. Un jeu de carte en haut sur la droite, l’origami tout en bas vers le centre à gauche.