Sur la pancarte:
« Petit musée de l’ukiyo-e, ouvert quand je me réveille et fermé quand je dois aller dormir, quand j’en ai assez, le magasin est fermé. »

Voilà un musée comme je les aime!

Car il s’agit pout lui d’une représentation parfaite de la Nature. Après Michel-Ange et Phidias, les artistes japonais deviennent donc les nouveaux maîtres à penser du sculpteur. “Les UTAMARO Kitagawa, ‘Une femme’ (titre donné par l’école Shirakaba) ou ‘Komurasaki de la maison Tamaya’, 1794Japonais sont de grands artistes. L’analogie de leurs dessins avec les plus belles oeuvres de l’antiquité grecque est frappante. On retrouve chez eux l’harmonie et la simplification de lignes des artistes anciens” disait-il. Un parallèle a priori surprenant mais qui s’explique en effet par une conception plastique similaire: la ligne, le contour, une même méthode de dessin, “l’emploi de teintes plates et la juxtaposition de tons unis sans modelés”

Un excellent article à lire sur Artscape.fr

S’il est une chose qui n’a pas évolué depuis le Japon traditionnel à nos sociétés occidentales contemporaines, c’est bien l’activité des chats, impassibles et philosophes à tout jamais.

Alors qu’il était en train de mourir, Kiyomori a cru voir des centaines de têtes de mort dans le jardin recouvert de neige. Il était persuadé qu’il s’agissait des restes des morts causés par son accession au pouvoir. Estampe d’Hiroshige.

Cinq fleurs d’iris en pleine éclosion par Kunisada, estampe en cinq parties représentant des acteurs de kabuki.