Peintures d’Andy Tavarelli
Amusantes, les peintures d’Andrew Tavarelli sont actuellement exposées à la galerie Anthony Curtis. Des oeuvres très inspirées par le monde de l’estampe japonaise.
Amusantes, les peintures d’Andrew Tavarelli sont actuellement exposées à la galerie Anthony Curtis. Des oeuvres très inspirées par le monde de l’estampe japonaise.
L’Université de Yale aux Etats-Unis propose sur son site une galerie qui présente la collection de l’école. A découvrir, bien entendu en jetant un coup d’oeil prolongé à la section dédiée à l’art asiatique.
Pour changer un peu, mais tout en restant dans des esthétiques japonisantes, un petit clip d’un groupe de rock chinois (ça change un peu): Lonely China Day. Si ce clip vous plaît, vous pouvez même vous acheter l’album.
Google books est malheureusement un des services peu connu du géant inquisiteur américain. Médiatisé à ses débuts en raison des réclamations des éditeurs, il a depuis fait un bout de chemin sans faire de bruit.
En partenariat avec de nombreuses universités, Google a scanné un nombre phénoménal de livres tirés des plus prestigieuses bibliothèques. Les livres sont ensuite mis en ligne et cette formidable bibliothèque digitale est rendu recherchable par les puissants algorythmes de l’entreprise américaine.
Il existe également de nombreuses fonctionnalités qui seront utiles au chercheur ou à l’étudiant, ne serait-ce que pour l’aider dans le choix des livres qui l’aideront à mener à bien sa thèse.
Par exemple, trouver des informations sur l’estampe japonaise est un jeu d’enfant. Une recherche sur les termes « japanese prints » nous amène à une page très similaires aux recherches habituelles, avec quelques possibilités de filtrage en fonction du contenu proposé (livre entier, contenu partiel,…). Il est également possible d’afficher les résultats avec uniquement les couvertures des livres.
En cliquant sur un des résultats de la recherche, vous arriverez sur une page du livre avec les mots-clefs recherchés mis en évidence. Il est à mon avis plus intéressant de cliquer sur le lien « à propos de ce livre » qui vous aménera sur une fiche détaillée du livre. Notez au passage qu’il est possible de découvrir d’autres éditions du même ouvrage.
Le résultat détaillé vous fournira toutes les informations de publication, un bref résumé du livre, des liens vers des marchands qui vendent le livre, un lien vers l’aperçu du livre, une sélection de pages ou de passages du livre, des livres en rapports, des références universitaires et la possibilité de rechercher à l’intérieur du livre.
Toutefois, ma fonctionnalité préférée dans Google Books, bien qu’elle soit relativement anecdotique, est celle qui consiste à afficher sur une carte tous les lieux mentionnés dans le livre, avec un extrait du passage qui parle du lieu.
Ce moteur de recherche de livres est probablement un des sous-sites de Google qui m’enthousiasme le plus, ne serait-ce que pour la simple raison qu’il renvoie vers des sources fiables et dignes d’intérêt pour des recherches de qualité. J’attends bien entendu avec impatience le jour ou plus de services s’intègreront aux recherches de livres et permettront, par exemple, de voir un documentaire sur Youtube à propos d’un endroit ou d’un objet cité dans un livre.
Un grand bravo au collège de Claremont qui a enrichit sa bibliothèque numérique de 289 estampes de Yoshitoshi et Chikanobu.
De plus, chaque estampe est accompagné d’une description qui explique brièvement l’histoire et le contexte de la scène représentée.